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Mercure de France
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«- Accepteriez-vous de jouer Tartuffe ?La conscience de Romain avait aussitôt été secouée par une bourrasque. Des images s'étaient abattues sur lui, en désordre. Parmi elles, il avait reconnu le moment de la proclamation des résulta[...]texte imprimé
De l'enfance à l'âge adulte, de la librairie de sa grand-mère au bureau d'un ministre de la Culture, l'acteur raconte des épisodes clés de sa vie d'homme et d'artiste. Emouvants, cocasses, ironiques, drôles, familiaux, professionnels et amoureux[...]texte imprimé
«Guy de Maupassant a mauvaise réputation : normand, canotier, mondain, éthéromane, érotomane. Toujours en fuite, clandestin dans sa vie et ses amours, ce fanfaron fut un silencieux, une énigme échappant aux chasseurs de biographies.[...]texte imprimé
«J'ai longtemps rêvé que ma mère était noire. Je m'étais inventé une histoire, un passé, pour fuir la réalité à mon retour d'Afrique, dans ce pays, dans cette ville où je ne connaissais personne, où j'étais devenu un étranger. Puis [...]texte imprimé
Je le voyais s'éloigner, la nuque maigre, le crâne chauve, les épaules effondrées. Je n'ai pas bougé. J'aurais dû l'appeler, le serrer dans mes bras, lui dire que j'étais heureux qu'il me fasse cadeau, pour me faciliter la vie de to[...]texte imprimé
Son mari l'a empêchée d'écrire, elle n'a pas pu devenir danseuse, alors elle peint. Et dans l'hôpital psychiatrique où elle vécut dix ans avant d'y périr brûlée vive, Zelda, l'extravagante, la provocatrice, la talentueuse, l'éclatante, se souvie[...]texte imprimé
«Je m'appelle Manège, j'ai neuf mois et je pense quelque chose que je ne sais pas encore dire. Entrez dans ma tête. Mon cerveau est plié en huit comme une nappe de coton. En huit ou en seize. Dépliez la nappe, voilà ma pensée de neu[...]texte imprimé
Et tout à coup, c'est lui. Sandrine est presque étonnée d'éprouver cette émotion, cette tendresse. Gabriel est assis, compact, comme s'il cherchait à esquiver un coup. Et en même temps, gracieux, innocent. Un chamois. Un chevreuil s[...]texte imprimé
«"Revoir Paris." Arrivé à la gare du Nord, monsieur Spitzweg se surprend à siffloter la chanson de Trenet. Ah oui ! finalement, c'est surtout pour ça qu'il est parti. Dans la rumeur de sept heures du matin, une grande bouffée de Par[...]texte imprimé
C'est dans l'abribus, où chaque matin lui va s'asseoir pour se distraire et elle attendre la ligne 15 de son école, qu'Andres et Milush se rencontrent. Elle n'a que quinze ans, il est presque octogénaire, mais de bonjour en paroles échangées,[...]texte imprimé
«C'est alors que, d'une voix presque éteinte, en acceptant l'échec et ne demandant plus rien, je parlai de Jacques Dorme. Je réussis à dire sa vie en quelques phrases brèves, nues. Je me trouvais dans un état d'abattement tel que j'[...]texte imprimé
Philippe Delerm reprend son « anti-héros », Arnold Spitzweg (Il avait plu tout le Dimanche, NB mars 1998). Toujours employé à la Poste, célibataire et habitant encore rue Marcadet à Paris, Arnold est un solitaire et il aime sa solitude. Ses r[...]texte imprimé
Les premiers mots des textes liturgiques de la messe de Requiem servent de têtes de chapitres à ce roman écrit à la première personne par Franz Schubert qui, sur son lit de mort, rêve, délire, revient sur son passé. Le musicien révèle les tour[...]texte imprimé
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Madame de Sévigné écrit : «Je lis des Mémoires d'un Monsieur de Pontis. Il conte sa vie et le temps de Louis XIII avec tant de vérité, de naïveté et de bon sens que je ne puis m'en tirer.» Ce sont des Mémoires de cape et d'épée, écr[...]


